Carpe Fever

Comme l'an passé Nico et moi avons pris la décision cette année de renouveler l'expérience en allant pêcher le long des berges de Cabanac afin d'essayer d'attraper d'autres de ces belles qui nous ont laissé rêveurs l'an passé.

Le départ se fait le vendredi après le travail vers 20 heures, une fois la voiture chargée. Nous arrivons sur place vers 4 heures et faisons une petite sieste de deux heures en attendant que le jour se lève et allons prendre un café chez Maurice afin de prendre connaissance de ce qu'il se passe sur le lac. Les nouvelles ne sont pas très réjouissantes puisque peu de poissons ont été pris, mais nous ne désespérons pas puisque la météo a totalement changée, le temps s'est légèrement radoucit et la pluie n'a cessée de tomber toute la nuit.

Il est temps pour nous de se mettre à la recherche d'un poste, une fois les bateaux chargés nous décidons de partir directement sur le secteur du Roudil voir ce qu'il se passe, car sur Cabanac les pêcheurs sont nombreux !

Arrivé sur place les poissons sont en activité et aucun pêcheur à l'horizon, nous décidons de rester dans le secteur afin de voir s'il y a moyen de prendre quelques poissons…

Une fois arrivé, nous posons le matériel et repartons de suite sur l'eau afin de sonder les fonds du secteur. Nico et moi optons pour deux postes présentant des fonds totalement différents mais intéressants. Le premier présente des fonds en pentes douces et l'autre des pentes plus abruptes avec des arrivées d'eau.

Les postes étant maintenant définis il est temps pour nous de faire notre fameux pile ou face afin de savoir de quel poste  héritera chacun de nous. Le tirage maintenant fait, Nico hérite du poste avec les pentes escarpées. Il exploite ce poste en plaçant deux cannes sur la berge d'en face à proximité des fameuses arrivées d'eau, une dans le cassant du lit et l'autre le long de notre berge à proximité de branches immergées.

Pour ma part ma stratégie est identique puisque je place deux cannes sur la berge d'en face, une à côté d'un arbre immergé et l'autre sur un haut fond situé non loin de la bordure.

Ma troisième canne sera dans le cassant du lit et la dernière sur ma berge entre des herbiers situé sur une pente douce et à proximité de bois immergés. De surplus, cette petite pente douce était ensoleillée une grande partie de la journée.

Une fois les cannes posées à l'eau les poissons n'ont pas mis longtemps à se manifester… En effet, à peine 3 heures après la dépose j'enregistre mon premier départ, que je décroche… Un deuxième poisson vient faire sonner mes détecteurs et une nouvelle décroche! La poisse !!!

C'est au environ de 22 heures que Nico met le premier poisson au sec, une commune de 11kg5.

Il enregistre un autre départ dans la nuit et sort une nouvelle commune de 13kg.

Pendant ce temps, je me bats avec de petits silures qui ont investis mes coups.

Le lendemain est une journée cauchemar pour moi puisque j'enregistre 5 départs dont quatre se soldent par des décroches et des casses, le seul poisson que je sors accuse les 3kg !

Pendant ce temps, Nico enregistre 3 départs et fait un poisson de 13,5kg, un autre de 4kg et casse lui aussi sur un poisson.

La suite de la session fut mouvementée puisque Nico fait 9 poissons pour 10 départs, et en ce qui me concerne, j'enregistre au total 21 départs pour 13 poissons.

Malheureusement, nous n'avons pas eu la chance de toucher de très gros poissons, la plus belle étant une commune de 14kg.

Pour la deuxième fois, ce lac nous a apporté beaucoup de plaisir et nous reverra le long de ses berges dans ces prochaines années.

Olivier,

Vendredi 14 septembre 2007 : 10h00

Après une bonne douche et un café au camping Brise du Lac de Cabanac. Nous prenons la route, direction le Salagou.

2 heures plus tard, nous apercevons enfin, les rives rouges du Lac. C'est comme je l'imaginais, comme dans les mags.

Pourtant distant d'environ 100 kilomètres, la température ici n'a rien à voir avec celle de Cabanac, c'est très chaud, trop chaud même.

Après une petite pause repas à Octon, nous décidons de partir prospecter les berges du lac, pas evident lorsqu'on ne connait pas l'endroit et ses 720 hA d'eau. Quelques pêcheurs sont installés. Un hollandais nous indique qu'il est sur le site depuis 4 nuits, et qu'il n'a pas enregistré de touches. Ca commence mal, mais il en faut plus pour nous décourager.

Après un long périple en voiture, autour du lac, nous décidons de débarquer le matériel entre Octon et Liausson, afin de gagner en zodiac un poste, situé face au village de CELLE. Une nouvelle fois zodiac gonflé et chargé, il temps de prendre possession du poste repéréré plus tôt. Pour économiser nos 2 précieuses batteries. Je décide de tirer le zodiac en marchant dans l'eau, pendant qu'olivier marche sur la berges lui aussi chargé de quelques sacs.

Vers 17h00, nous sommes sur le poste, et commencons à monter le matériel. Le poste que nous avons décidé de pêcher, permet de bénéficier d'un peu d'ombre, où il fait tout de même 30 °C. Des arbres, vestiges d'un ancien bois se dressent devant nous, à environ 100-110 mètres. Nous passons le secteur d'un coup d'echonsondeur, la profondeur maxi est de 13 mètres, le fond est dur. En bordure, quelques herbiers offrent aussi des posibiltés de pêche.

20h00

Tout est ok, est l'attente commence. Les cannes sont volontairement pointées vers le ciel, afin de soustraire au maximum nos bannières du fond de l'eau. Car nous ne le savons pas encore, mais celui-ci est très encombré.

Nous décidons avec Olivier, de passer cette première nuit à la belle étoile, sur nos bedchair, avec un magnifique ciel étoilé pour couverture.

La nuit sera calme.

Samedi 15 septembre 2007 : 8h30

Au réveil, café, croissants, et que faire? Quelle stratégie mettre en place, pour exploiter au mieux ce poste?

Première chose à faire, relever les cannes. Et là premières galères sur 8 cannes tendues, la moitié sont bloquées au fond!!!!! Même en tirant fort dessus, rien ne bouge. On décide alors de prendre le bateau afin de ne pas perdre trop de matos. Arrivée au dessus des montages, rien n'y fait, les bas de lignes casses où bien alors c'est la tresse des moulins que l'on remonte toute abimée.Les autres cannes elles pêchent à la goutte d'eau, ou alors il ne reste pas grand chose de nos bouilletes, seuls apparaissent les marques qui trahissent la présence d'écrevisses, qui doivent être impréssionnantes, vu les pinces retrouvées dans les rochers au bord. Les dresseines présentes en grande quantité, voir ci-dessous, sont mortelles pour les corps de lignes, mêmes nos tresses souffrent, tout le matériel souffre ici.

Alors on refait les montages à neuf, et on décide de replacer 2 de nos 4 cannes sur des spots, en  tête chercheuse, afin d'intercepter des poissons, qui comme partout doivent bien nager pour se nourrir, et d'amorcer une zone un peu plus large, pour y placer les autres montages, près du bord à environ 40 m, dans 8 à 10 m de profondeur.

Le niveau du lac n'est pas à son maximum, d'après les pêcheurs locaux, il manque au moins 1.80 m. Dommage car la roselière à ma droite aurait été intéréssante à pécher. Enfin bon, le lac est plus bas, et il faut, comme pour Cabanac atteindre l'objectif fixé, sortir une carpe chacun du Salagou.

La nuit du samedi au dimanche ne nous donnera rien, celle du dimanche au lundi non plus d'ailleurs. Dur, dur!!!!

Lundi 17 septembre 2007 : 19h30

L'orage salvateur

Il est environ 19h30, et olivier vient tout juste de finir de tendre ses lignes, le ciel est bien couvert. C'est bizzare on dirait qu'il va y avoir de l'orage! Pourtant météo france, n'a pas indiqué d'orages sur le département de l'Hérault,.....et pourtant.

En quelques minutes, des grondements se font entendre au loin, puis de plus en plus près, et enfin juste au-dessus de nous. La pluie tombe déjà, de grosses gouttes, qui laissent place par la suite à de la grèle. Le vent se met à souffler. Sous le parapluie d'Olivier, nous n'en revenons pas de ce qui nous tombe sur la gue....

Le vent souffle plus fort encore, de grosses rafales, courtes mais violentes. Olivier passe la tête à l'extérieur, "les rodpod sont retournés" me dit-il. Je regarde, effectivement les rods sont en vrac, les cannes croisées et dans l'eau, les détecteurs baignent. Que faire? L'orage est juste au-dessus. Je décide de sortir pour remettre de l'ordre, Olivier me suit, on ne sait jamais le départ tant attendu pourrait survenir.

Retour sous le parapluie. Et là grosse surprise, une rivière commence à couler entre nos abri, et notre coin cuisine ne resemble plus à grand chose. La quantité d'eau accumulée dans les collines est telle qu'un véritable petit torrent dévale la pente et termine dans le lac. On ressort afin de mettre à l'abri la cantine. Heureusement que l'un d'entre nous n'a pas placé son abri à cet endroit, on a évité de peu la catastrophe matérielle.

Nouveau retour sous le pépin, et grande question, que vous vous etes déjà posée j'en suis sur, si vous avez vécu un orage en session. Que faire en cas de départ, laisser dérouler, et jouer la carte de la prudence, ....ou alors sortir ferrer en sachant que c'est chaud, pardon que c'est suicidaire???

2 minutes plus tard Olivier passe une nouvelle fois la tête sous le pépin. L'orage est toujours au-dessus, vous savez le son et l'éclair en même temps, et là il me dit "Nico, départ!" ..."Arrètes tes conneries". Je regarde, mon rod. La canne de gauche est pliée et ....ca déroule vraiment. Ni une ni deux, je cours, empoigne la canne et ferre. Puis je couche la canne et commence à pomper le poisson. A ce moment, je commence à réaliser que je suis vraiment cinglé et en très mauvaise posture, et les cris d'Olivier pour me dire de revenir ne sont pas pour me rassurer.

La configuration de mon poste est-elle que je suis obligé de rentrer dans l'eau jusqu'à la taille pour tirer le poisson vers la droite afin d'éviter un arbre immergé. Torse nu, le combat continu, l'orage est toujours là, vraiment pas loin, la canne couchée au maximum, le poisson approche.

"Olivier.... l'épuisetteeee"

Olivier arrive pas très rassuré, et me lance l'épuisette, la carpe est là, tout près maintenant, ma carpe du Salagou, mon objectif bientôt atteind.

Enfin je la glisse dans l'épuisette. Cri de joie. Le poisson à l'air de belle taille, pas un éléphant, mais il fait vraiment très plaisir, après plus de 3 jours sans bip.

Olivier, m'aide à remonter sur la berge. L'orage s'éloigne. Je mets le poisson au sac le temps de mettre un tee-shirt sec et d'enfiler une veste.

Puis pesée : verdict 14 kilos commune. Séance photo et remise à l'eau.

L'orage n'est plus là, mais il nous laisse une vision apocalyptique du lac.

Après un repas à l'arrache, et un bon café. Il est temps de dormir un peu. Une bonne partie de la nuit sera calme.

Mardi 18 septembre : 5h00

Départ chez Olivier. Ferrage, et combat très court en bateau, puisque le poisson se décroche, très rapidement. Déçus, c'est le retour vers la berge, puis le retour vers le duvet.

Mercredi 19 septembre : 11h00

Nouveau départ chez moi, qui se soldera par une casse, le poisson à trouvé un obstacle. Et merde!!! Je retend la ligne au même endroit.  A 15h40, la même canne déroule une nouvelle fois, combat du bord et Olivier épuise après quelques minutes une commune à l'allure un peu bizzare, très blanche et un peu cabossée,....mais qui fait très plaisir tout de même. Le peson indiquera 9.6 kilos.

La nuit et la journée du lendemain sera très calme. La fin de session approche vite, trop vite.

Vendredi 21 septembre : 10h00

Olivier enregistre une nouvelle touche, qui lui apportera sa première carpe du Salagou. Une belle commune de 14 kilos elle aussi. Il est super content de poser avec ce beau poisson.

Notre dernière nuit sera très calme comme si les carpes savaient qu'il est temps pour nous de reprendre la route et ses 700 kilomètres, pour regagner nos pénates.

Une nouvelle fois, nous avons tous les deux réussis notre pari, celui de prendre une carpe au Salagou. C'est promis nous reviendrons, revivre de tels moments sur les berges rouges de ce lac magique, avec des orages en prévision.

Voici la carte du lac du Salagou

Nico

Vendredi 7 septembre 2007 à 20h00 : Jour J

Après avoir chargé la voiture, tant bien que mal, et après avoir mangé, il est l'heure pour Olivier et moi de prendre la route en direction du Lac de Saint Geniez d'Olt, plus communement appelé Cabanac.

Samedi 8 septembre 2007 à 3h00

7h00 de route plus tard, nous sommes sur les berges du Lac. Après 1h30 de léger sommeil assis dans la voiture, nous rencontrons Maurice, dans son camping "Brise du Lac". Nous pouvons ainsi récupérer quelques infos bien utiles, autour d'un café goutte.

Apparemment la pêche n'est pas fabuleuse ces dernières semaines, mais nous sommes très excités à l'idée de tendre les lignes.

Sans perdre de temps, la voiture est déchargée, les zodiac gonflés puis chargés, et nous partons à la recherche d'un poste. Beaucoup d'autres pêcheurs sont déjà installés, surtout sur le secteur de Cabanac.

Nous trouvons tout de même un poste, qui nous parait sympa, et qui offre quelques possibilités. Nous y resteront le temps de 2 nuits infructueuses. La pression de pêche de ce côté du lac, y est à mon avis pour quelque chose.

Lundi 10 septembre 2007 : 15h00

Je décide de prendre le zodiac, afin de prospecter d'autres secteurs du lac, en aval, plus vers le barage. après 30 minutes de navigation, je découvre le secteur du Roudil, une équipe est déjà installée sur un des postes de ce secteur, et justement ils combatent un poisson, je décide d'aller à leur rencontre, pour prendre quelques infos.

Je profite de ces quelques lignes pour passer un bonjour à ces deux frangins passionnés de pêche à la carpe, et originaires de Chateauroux, Nicolas et son frère dont j'ai oublié le prénom.

Apparemment sur ce secteur les carpes sont plus actives, et ils ont eu de nombreuses touches. Un autre poste 500 m plus bas est libre. Coup d'echosondeur rapide, repérage pour l'installation du poste, et je suis déjà sur le retour pour raconter tout ça à Olivier. 1h00 plus tard, le camp est levé, et les zodiac chargés à nouveau : direction le Roudil. Sur ce nouveau poste le moral remonte, car les possibiltés de pêche sont plus nombreuses, et surtout des poissons se manifestent. Les cannes sont posées une à une, le camp monté, ................l'attente commence.

Mardi 11 septembre 2007 : 8h00

Olivier à une série de bips, sur une canne qu'il avait installé en retrait du poste. Il se lève pour ferrer une petite carpe commune de 1.5 kilos, notre première carpe sur ce lac.

Vite remise à l'eau, et le café du matin avalé, nous retendons les cannes pour la journée.

Je décide d'en poser une dans la crique face à mon poste, 2 autres sur la berge opposées aux pieds des falaises, et enfin la 4ème dans mes bottes dans la pente qui mène au lit de la rivière. Olivier lui aussi exploite la berge oposée.

14h00

Après un repas bien mérité, et un bon café, nous admirons une fois de plus la beauté du cadre, c'est alors qu'un poisson se montre à la surface presque au dessus de mon montage, celui de ma 4ème canne, celle qui pêche très près du bord. Je me dis que serais bien qu'elle goute me bouillettes,...

14h15

Nous décidons de prendre un peu de repos sous le pépin. A peine le temps de m'installer sur le bed, qu'un bip, suivi aussitôt d'un beau départ se produit sur la canne qui pêche tout près de moi. Vif comme l'éclair je commence le combat, avec ce qui parait etre un beau poisson. La carpe est tout près de moi, le combat se passe sous la canne dans 10 mètres de profondeur, quelques minutes plus tard le poisson arrive en direction de l'épuisette, le poisson à l'air joli, mais je n'imagine pas encore ce qui m'attend au fond du filet. Olivier qui porte le poisson me dit, que son poids à l'air intéressant.

Le peson indique 17.5 kilos, pour cette magnifique commune, je suis fou de joie, car je viens de battre mon record personnel de quelques centaines de grammes. Un rève vient de se réaliser pour moi, ce rève c'est celui de poser avec une grosse commune de ce lac.

Le temps de faire quelques photos de ce poisson magnifique, et elle retrouve son milieu. Je peux vous assurez que vu de dessus dans très peu d'eau, ce poisson représente une masse impressionnante.

Très confiant pour la suite de la session, je retend la ligne au même endroit. Nous nous assoupissons quelques temps sur nos beds.

16h30

Je décide de laisser olivier seul, afin de prendre de nouvelles infos auprès de l'équipe des 2 frères à 500 m de nous. Une nouvelle fois, à mon arrivée, ils mettent un poisson à l'épuisette, une belle commune de 16 kilos.

17h00

En pleine discussion avec ces nouveaux amis, je crois percevoir au loin un cri, du style nicolaaaaaaaas!! Pas de doute, c'est Olivier qui m'appelle. Sprint sur le retour, je suis sur les genous pour mettre à l'épuisette à nouveau un très beau poisson.

Pesée. J'annonce à Olivier qu'il a désormais un nouveau record en carpe commune, avec cette 15.5 kilos, il est super content lui aussi, car ce rève dont je parlais plus haut, il vient lui aussi de le réaliser.

Après 2 nuits sans poissons, ce changement de poste aura porter ces fruits car cette journée nous apporte 3 carpes, que demander de plus.

Mercredi 12 septembre 2007

La pêche ici, est vraiment très différente de celle que l'on pratique dans nos ballastières en région centre. Les obstacles sont nombreux, comme en témoigne la photo ci-dessous.

Occupé à discuter de nos émotions de la veille, nous sommes supris par un  nouveau départ sur les cannes d'Olivier. Ferrage, combat en bateau à cause de l'abre ci-dessus, et mise à l'épuisette d'une nouvelle commune, de 14 kilos cette fois ci.

Le lac nous offre à nouveau un superbe poisson. Ce sera le seul de la journée, aucune autre touche ne sera enregistrée.

Jeudi 13 septembre 2007 : 10h00

il faut profiter de cette dernière journée, car demain le poste doit être libre pour acceuillir les equipes venues disputées le Trophée Carpe Aveyron. La fin de session approche vite, mais nous sommes confiants pour la journée. Les cannes sont retendues.

Nouveau départ sur les cannes d'Olivier. Prise de contact, combat en bateau, nos gestes son désormais précis, et nous rapportent une nouvelle commune d'un poids plus modeste, mais un superbe poisson tout de même de 10 kilos.

De mon côté calme plat, je n'ai pas enregistré d'autre touche. Vers 16h00 Olivier à un nouveau départ, qui se soldera pas une décroche dans un arbre immergé. Dommage.

Vendredi 14 septembre 2007 : 6h00

Il est temps de quitter ce lieu, mais nous partons avec des souvenirs plein la tête, et surtout remontés à bloc car il nous restent une semaine de pêche, juste le temps de gagner les berges du Salagou.......

Au final, le Lac de Saint Geniez d'Olt nous auras offert 5 de ses carpes, pas un miracle, mais nous avons atteind nos objectifs. Un rève de gosses réalisé, pour chacun de nous.

Voici la carte des secteurs de pêche de nuit sur le lac de St Geniez d'Olt

Nicolas, Blogmaster